Nous prenons 11 mois de pause professionnelle afin de réaliser un projet qui nous est cher : voyager et avoir autant de temps libre que nous le souhaitons, wouhou !
Notre voyage dure 9 mois, et nous nous focalisons sur les destinations lointaines, c’est à dire principalement les pays de l’océan Pacifique et le continent Océanien.
Rappel : le bilan carbone cible fixé par les accords est de 2t de CO2e
Si une chose est compliquée à organiser et si une autre s’organise sans difficulté, alors se diriger vers la 2è option
Parfois on veut trop faire de choses, comme visiter certaines villes ou monuments, ça charge trop nos journées et on profite moins de l’instant présent puisqu’on regarde notre montre tout le temps
Difficile de savourer ce qu’on visite lorsqu’on prend un bain de foule. C’est aussi, pour Axel, les moments où nous étions seuls au monde qui l’ont le plus séduit (seul sur la montagne en NZ, seul sur une île en Polynésie).
Théorie à étendre sur la vie en générale ?
Finalement on réalise qu’on est heureux lorsqu’on réalise des choses qui nous satisfont. Voir plein de choses pendant notre voyage ne rend pas plus heureux directement. C’est la réalisation de choses, tels que le blog ou le carnet de voyage, qui nous satisfait.
Nous avons pu nous inspirer des personnes que nous rencontrions et qui étaient autonomes sur certains sujets : récupération d’eau de pluie, énergie solaire, isolation thermique, fruits et légumes. C’est une corde sensible qui nous est chère
On a réalisé, surtout en Polynésie, qu’on oublie assez vite de rester humain dans nos interactions avec les autres, et que les autres sont aussi humains. Prendre le temps de discuter, de sourire, et ça change tout.
Une fois lancés dans la vie professionnelle, ça va vite et on voit déjà un chemin tout tracé avec peu de surprises. Faire un arrêt d’un an, pour voyager ou faire tout autre projet, permet de prendre le temps pour tout. On voit où on en est, on voit nos proches, on profite de l’instant présent, et on peut réfléchir à comment on veut reprendre le cours de sa vie « active » ensuite.
– Découverte d’un mode de vie plus écologique et durable
– Apprentissage de nouvelles compétences pratiques liées à l’agriculture et à l’autosuffisance
– Opportunité de voyager et de découvrir de nouvelles régions
– Échanges interculturels enrichissants avec les hôtes et les autres volontaires
– Expérience de vie en communauté et de travail collaboratif
– Possibilité de se reconnecter avec la nature et de se ressourcer
– Activité physique bénéfique pour la santé
– Coût de séjour réduit grâce à l’hébergement et à la nourriture fournis
– Manque de rémunération : Le wwoofing est un échange de services, sans salaire en contrepartie. Cela peut être difficile à assumer sur le long terme.
– Conditions de travail parfois difficiles : Les tâches à effectuer peuvent être physiquement exigeantes, avec des horaires de travail longs et irréguliers.
– Manque d’intimité : Vous vivez généralement avec la famille d’accueil, ce qui peut être un défi pour préserver votre espace personnel.
– Barrière de la langue : Si vous ne parlez pas la langue du pays, la communication peut être complexe et limiter votre intégration.
– Incertitude sur la durée du séjour : La durée de votre mission n’est pas toujours clairement définie, ce qui peut créer de l’instabilité.
– Risques liés à la sécurité : Vous pouvez être confronté à des situations imprévues dans un environnement étranger.